Dans une symphonie de gris, un pavillon s’élève, suspendu entre ciel et eau, comme un rêve figé. Les montagnes, gardiennes silencieuses, embrassent l’écho des arbres dans le miroir liquide. La brume effleure les contours, ajoutant mystère et douceur. Chaque vague murmure des histoires oubliées, tandis que le pavillon, tel un poème, s’ancre dans l’instant éternel, invitant à la contemplation d’une beauté silencieuse.