Dans le ventre de la machine, des âmes solitaires se frôlent, absorbées par des écrans scintillants. Les sièges cramoisis, témoin de leurs pensées échappées, s’alignent comme des rêves inachevés. La lumière d’un matin doré danse à travers des fenêtres, illuminant des visages pensifs. Chaque regard perdu à la fenêtre raconte une histoire, une destination espérée. Le temps suspendu, l’horizon se dessine dans un soupir collectif, un ballet de vies entrelacées, suspendu dans le tumulte doux d’un voyage partagé.