Ponts d’ombres et de roues

Une passerelle de fer tend ses bras au-dessus du sol, grinçante, tissée d’histoires et de trajectoires. Les motos glissent, silencieuses messagères du quotidien, entre croisement d’acier et éclats de lumière. Le panneau interdit les envolées insouciantes, mais les pensées voyagent librement. Sous la voûte végétale, ce pont devient un trait d’union, suspendu entre passé et présent, entre le tumulte et l’apaisement.

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